A ce titre, trois "zones" sont à considérer. L'une plus proche du musée étant une petite butte allongée parcourue d'un sentier style "sente à baudets" partiellement replantée d'arbrisseaux et sous-arbrisseaux à fleurs en sus des espèces pionnières déjà présentes. No comment, mais l'entomofaune y trouvera sûrement son compte. Une seconde se trouve en prolongement du parking bas et a été également réaménagée avec des essences plus inutiles les unes que les autres : laurier sauce, pernetia,....y compris deux Trachycarpus fortunei (variété de palmiers) qui encadrent la passerelle...(On se demande ce qu'il foutent là; faut-il y voir un reliquat de la mégalomanie du Petit Lu ????). Je vous tairai le coût des travaux, il était jusqu'il y a peu, exposé sur un tableau récapitulatif à l'entrée du site.
Enfin, la partie la plus éloignée, aussi la plus sauvage, est le terril proprement dit duquel on peut découvrir la région jusqu'aux éoliennes de Gerpinnes, la tour du Gibet à Thuin, etc...
Bien sûr il faut gravir mais en suivant un large sentier (prévu pour l'accès en véhicule jusqu'au sommet) à flanc de butte et en colimaçon. La part belle y est laissée aux essences pionnières classiques : saules (Salix caprea, bouleaux (Betula sp), sureaux noirs lacinié s(Sambuccus nigra laciniata), chênes sessiles (Quercus petraea), merisiersPrunus avium (quelques beaux spécimen), etc...
A vous d'en faire l'expérience !








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